Quand ce n’est rien que par tendresse,
Qu’elle vous donne son accès,
N’ayant jamais aimé la messe,
De ces nuits à vivre à l’excès.
*
Lorsqu’il n’y a aucune fièvre
Dans le miracle de ses mains
Tant tout cela lui semble mièvre
De s’amuser sur ce chemin.
*
Combien sont-elles chaque soir
A appréhender ce moment
Où leur plaisir n’est que de voir ?
*
Et de ce contrat sans partage
De ce désir où on vous ment,
Vous vient des envies de voyages,
*
Pour voir si après l’horizon,
N’existent pas d’autres saisons …
Avril 2017
Photo Patrick Wecksteen ; modèle Mela Niiy