En deux rimes osées.

Voici fleurir le charme où voguant sous mes mains
Ton corps fou s’abandonne ainsi qu’un bateau ivre,
Tes cris et tes soupirs vibrent à l’envie de vivre,
Caresses sensuelles et douceur de tes seins.
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Ton corps fou s’abandonne ainsi qu’un bateau ivre,
Les courbes de tes hanches esquissent un beau dessin,
Caresses sensuelles et douceur de tes seins,
Ta peau a des senteurs de parfum qui enivrent.
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Les courbes de tes hanches esquissent un beau dessin,
Mes doigts tournent une à une les pages de ton livre,
Ta peau a des senteurs de parfum qui enivrent,
Ma bouche a trouvé l’ombre où commencent tes reins.
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Mes doigts tournent une à une les pages de ton livre,
Aux orages de ton dos succèdent un petit grain,
Ma bouche a trouvé l’ombre où commencent tes reins,
Entre tes cuisses blondes où ton plaisir doit vivre.
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 septembre 2008