L’arc de triomphe de tes hanches,
Sur l’île de ta nudité,
En grand relief, sur ta peau blanche
Marque l’envie de mes pensées.
Au pourtour de la transparence,
Tes cuisses ouvertes à l’infini,
Comme lignes de déhiscence
Semblent expurger de la magie.
L’ombre foncée de ton pubis,
Obscure mésangette de l’ombre,
Donne du sens à mes caprices.
Et tous les sons de ton corps nu,
Vibrations de clair et de sombre,
Me laisse là, pensif, ému !
juin 2008